Triste lettre d'amour

Lettre d'amour triste


Une triste lettre d’amour


Peut-être qu'on s'est perdu en route, peut-être que je n'ai pas eu le temps de te rattraper au bon moment, que je t'ai laissé filer parce que les sentiments qui me submergeaient lorsque tu étais là me faisait peur. J'ai été idiot. Je te demande pardon, pardon d'avoir mis autant de temps à comprendre que je t'aimais, que tu étais ce qui manquait à mon monde, ce que j'étais incapable de comprendre. Je n'arrêtais pas de me dire que tu avais tort, qu'une fille comme toi ne pouvait pas être amoureuse d'un gars comme moi. Après tout, regarde-moi, j'ai toujours eu le don de tout détruire, je n'ai jamais eu les mots justes et j'ai toujours été incapable de retenir les gens qui comptaient pour moi.

Quand t'es partie, j'ai eu l'impression que mon monde s'effondrait, que je n'allais pas y survivre. Je le pensais pas tu sais, je ne pensais pas que tu serais capable de me quitter. J'étais bien trop sur de moi, bien trop arrogant pour avouer que j'avais plus besoin de toi que toi de moi. Je sais pas s'il est trop tard, je ne sais pas si tu as encore une place pour le pauvre mec que je suis, mais je t'aime. Aussi maladroitement que j'en suis capable. Je t'aime comme je n'ai jamais aimé personne.

Je sais pas si j'ai le droit de te demander de revenir après tout ce que je t'ai fais subir, je ne sais pas si tu es capable d'accepter mon pardon. Je ne sais pas si j'ai compris trop tard. J'ai trop peur de t'avoir perdu pour de bon.
Quand on s'est embrassé la première fois, j'ai eu l'impression que ça ne pouvait pas être réel, ce rôle de type qui ne tombait pas amoureux me collait tellement bien à la peau et s'il me voyait là, il me trouverait surement pathétique, mais je m'en fiche. C'est toi que je veux. Pardon et, pardon d'avoir mis autant de temps à m'en rendre compte.

Une lettre de tristesse



J'ai l'impression qu'à chaque que je réussis à faire un pas, à t'oublier un peu, à faire en sorte que toutes mes pensées ne soient pas tourner vers toi, tu te retrouves de nouveau là, à faire comme si rien ne s'était passé, comme si je n'avais jamais pleuré à cause de toi. Ce n’était pas censé se passer comme ça, j'étais décidée, je voulais avancer, passer à autre chose. Je voulais réellement le faire, je me sentais prête à te dire au revoir ou adieu. Mais tu t'es de nouveau pointée, comme si de rien n'était. Avec ton «  et d. Tu veux que je te ramène ? ». T'avais pas besoin de faire ça, tu savais que quelqu'un allait venir me chercher, tu savais que si je ne t'avais pas adressé un mot de la soirée c'est parce que j'en avais juste pas envie et pourtant ... Tu ne me laisses même pas l'occasion de passer à autre chose, en faite c'est comme si tu n'en avais pas envie et que tu étais le seul à prendre cette décision. Mais je veux passer à autre chose, vraiment. Alors arrête, arrête de revenir à la charge pour m'ignorer après. De revenir vers moi pour en suite regretter la chose. Tu peux pas me proposer de me ramener chez moi à 02h00 du matin pour passer le reste du trajet dans le silence, t'as pas le droit de faire ça. Et je suis seulement là à me demander pourquoi j'ai accepté, pourquoi je suis encore une fois totalement tombée dans le panneau. Pourquoi je ne peux pas juste te dire d'aller te faire foutre ?

Triste lettre après une séparation



T'aimer m'a rendu folle dans un sens. Je n'étais plus capable de différencier ce qui était bien ou mal pour moi. Je me focalisais seulement sur toi, sur ce que tu aimais, sur ce que tu voulais et sur ce dont tu avais envie. J'avais tellement envie d'être la fille qui te changerait. Je sais que ça fait clicher et que c'est ridicule. Je sais que tu ne crois pas en l'amour. Je voulais juste ... Tu sais, être l'exception. Ma vie ne tournait qu'autour de toi tu sais. Je m'en rends compte, j'étais seulement pathétique de m'accrocher à toi de la sorte, pathétique de croire que je pouvais faire en sorte que tu m'aimes. Je suis désolée de t'avoir fais endurer tout ça, je suis désolée d'avoir cru qu'il y aurait pu y avoir un futur nous. Je t'aimais, plus que cela n'étais permis, plus que je ne m'aimais moi-même. J'aurai pu faire n'importe quoi pour toi. Et je dis je t'aimais, mais je crois que je t'aime encore.
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